Repeindre la carrosserie sans l’aide d’un pro

Pour appliquer la peinture sur votre carrosserie comme un professionnel, vous devez avoir le matériel adéquat et suivre des étapes précises.

Préparez la peinture pour la carrosserie

Utilisez une peinture adaptée à un usage domestique. Si vous utilisez une peinture 2K, il faut porter un masque respiratoire spécial. Maintenant, mélangez 50% de peinture et 50% de diluant. Pour éviter la projection d’éventuels débris sur la carrosserie, mettez des filtres à peinture dans votre pistolet. Veillez à bien régler le pistolet pour obtenir une large vaporisation avec une peinture bien uniforme. Passez plusieurs couches sur la carrosserie en fonction du rendu voulu. Il est important de peindre pièce par pièce la carrosserie. Pour la dernière couche, utilisez un mélange de 25% de peinture et 75% de diluant pour un aspect mouillé.

Apprêtez la voiture pour la peinture

Avant de peindre votre voiture, il faut préparer la carrosserie. D’abord, il faut peindre une carrosserie en bon état. Retirez l’ancienne peinture si nécessaire. Corrigez les imperfections comme les bosses et les trous avec du mastic. Poncez la carrosserie en veillant à bien lisser le mastic. Il est important de peindre une surface sans aucune aspérité. Si ce travail initial est mal réalisé, la peinture tout entière sera gâchée même si vous utilisez le bon mélange.

La peinture réalisée par un professionnel

Si vous n’êtes pas un bon bricoleur, préférez tout de suite le travail d’un professionnel à Rennes pour appliquer la peinture de votre choix sur la carrosserie de voiture. Certes, vous allez sortir quelques euros de vos poches pour le service d’un professionnel comme Avm-autos.com à Rennes, mais vous aurez l’assurance d’un travail fait dans les normes et dans les temps. Vous éviterez aussi la lourde tâche de trouver et d’acheter tout le matériel pour la peinture de carrosserie (compresseur, pistolet, peinture, etc.), le travail de décapage et d’application de la peinture.

Quand le sortir de l’atelier ?

Pour une peinture lisse et réussie, Il est nécessaire de faire appel à un garagiste professionnel. Généralement, la peinture en elle-même ne prend que quelques heures. Ce sont surtout les démarches préalables telles que le grattage de la couche de peinture précédente, le lissage et le masticage… prennent plus de temps. Mais bien que votre véhicule soit prêt dès le matin, il est tout de même préférable d’attendre le soir avant de le sortir de l’atelier. Ce n’est pas simplement pour éviter de toucher la peinture et d’annihiler tout le travail déjà fait. La raison en est que la peinture encore fraiche a tendance à accrocher la poussière. Si vous le conduisez en l’état, vous risquez d’avoir une voiture sale à l’arrivée, ce qui sera irréversible une fois que la peinture sera sèche.

Laver : oui, mais pas comme d’habitude !

Pour un premier lavage après une peinture, n’utilisez pas de savon, en poudre ou sous autres formes pour ne pas anéantir le travail. Un coup d’éponge avec de l’eau fera amplement l’affaire. Passez dans tous les coins pour avoir un résultat nickel, séchez le tout à l’aide de chiffon pour éviter que les poussières ne s’accrochent de nouveau sur la structure.
Ce n’est qu’au bout de la troisième séance de lavage que vous pourriez de nouveau utiliser le savon et le polish.

Ranger dans le garage : pourquoi ?

Essayer de trouver un garage fermé pour votre véhicule. Après quelques heures à patienter dans l’atelier la peinture sera sèche, ce n’est plus là le problème. Par contre, si vous l’exposer à des changements climatiques fréquents, voire simplement à une trop forte chaleur, les couches de peinture vont craquer. La rouille va revenir plus rapidement que prévu et il faudra une autre séance de rafraichissement pour redorer l’image de votre voiture.
Si véritablement vous n’arrivez pas à trouver un parking couvert pour votre voiture, autant le couvrir avec une bâche. Choisissez un accessoire robuste, épais et qui ne fond pas sous le coup de la chaleur au risque de laisser une trace sur votre carrosserie. De préférence, il faudra choisir une bâche qui couvre toute la structure, et pas uniquement le toit de votre voiture comme le pensent souvent les particuliers.

Ce qu’il faut savoir avant de procéder à cet entretien

Quand on parle de vidange moteur, il s’agit du remplacement de l’huile dans le moteur. Il sera donc, nécessaire d’accompagner cette procédure par le changement du filtre à huile. Cet entretien est à faire tout au plus, après 7000 km de trajet. Mais il serait mieux de le faire une fois par an, même si vous n’atteignez pas ce parcours. La vidange est une étape nécessaire pour garder l’état impeccable du moteur, en ayant un lubrifiant qui permette d’éviter la friction entre les éléments dans le moteur. En effet, l’huile est un lubrifiant qui, avec le temps, va devenir moins efficace. Si elle est moins efficace, elle va encrasser les différentes pièces de votre moteur et notamment, le filtre à huile, pour finir par détériorer le fonctionnement de ce dernier. Pour bien faire votre vidange dans ce cas, munissez-vous d’un contenant qui permettra de récupérer le lubrifiant usagé. Vous aurez aussi besoin d’un entonnoir ainsi que d’une clé adaptée pour le desserrage et le serrage de vis. Ensuite, ayez aussi en main, une pince. Elle sera utilisée pour le démontage du filtre. Il vous faudra aussi un joint qui se placera au niveau du couvercle de vidange. Et enfin, n’oubliez pas le nouveau lubrifiant en quantité adaptée à votre moteur, mais aussi, le nouveau filtre.

Connaitre le lubrifiant adapté et le filtre avant de se lancer

Avant d’effectuer votre vidange, il faut acheter le bon lubrifiant. Généralement, sur le marché, on a deux sortes de lubrifiant pour moteur. Si vous roulez sur une moto de compétition, il sera préférable d’avoir une huile moteur de synthèse. Autrement, vous pourrez utiliser un simple lubrifiant de semi-synthèse. Pour connaitre le bon lubrifiant, il faut en juger par sa viscosité. On peut définir cette dernière sur l’étiquette externe de la bouteille d’huile. C’est un chiffre qui s’appelle la grade et qui définit le niveau de viscosité. Ce chiffre est élevé si l’huile est bien visqueuse. Ensuite, on a la mention SAE qui précède généralement, le chiffre. Cependant, il existe aussi des mentions plus complexes et composées sur l’étiquette. Cela peut avoir cette forme, SAE 10W40. Dans ce cas, on a SAE ou Society of Automotive Engineers en premier, suivi de l’indication sur la viscosité de l’huile, à froid, et sa viscosité à chaud. Ce type de lubrifiant est plus performant qu’une simple mention de viscosité à chaud. Pour le filtre, on peut aussi avoir deux types. Ce dernier peut être en papier. Dans ce cas, l’élément en papier se trouvera à l’intérieur, et la pièce va se placer sur le carter de votre moteur. On peut aussi avoir des filtres métalliques que vous pouvez enlever avec votre pince.

La mécanique moto : un métier d’avenir

On comprend mieux pourquoi il y a de plus en plus de jeunes attirés par ce métier, et ce, pas seulement les jeunes hommes mais aussi, et de plus en plus, les jeunes femmes. Aussi, ceux qui souhaitent trouver un bon travail assez rapidement peuvent suivre des formations professionnalisantes en mécanique moto.

Le métier de mécanicien moto

Un mécanicien moto travaille dans un garage ou dans l’atelier d’une concession moto. Il travaille en collaboration avec le technicien et parfois au sein d’une équipe. Après que le technicien ait écouté les explications du client et lui-même déterminé le problème, le mécanicien moto peut entrer en jeu. Si les réparations sont plus importantes, plus complexes et réclament des mises au point plus élaborées, elles échoient au technicien. Mais en règle générale, le mécanicien moto a pour tâches les contrôles, les réglages simples mais parfois aussi les réparations plus importantes sur des motos ou des scooters. Par exemple, ouvrir une boîte de vitesse et ensuite la remettre à neuf, vérifier les différents paramètres d’un ABS etc. Il se charge de démonter et de changer les pièces défectueuses d’une moto et de tout remonter lorsque le travail est accompli.

Quels formations pour maîtriser la mécanique moto ?

Des formations pointues sont nécessaires en mécanique moto, d’autant plus que les deux-roues aujourd’hui deviennent de plus en plus complexes et autrement plus sophistiqués. Des formations de très grande qualité sont fournies aujourd’hui et dans un bon nombre de centres et d’instituts. Les cours sont principalement centrés sur la pratique. Mais il est possible, dès l’après 3e de suivre une formation de 2 ans pour préparer le CAP maintenance des véhicules, option motocycles pour le métier de mécanicien moto. Il faut toutefois 3 ans pour le bac pro maintenance de véhicules automobiles, option motocycles si on veut aller plus loin et devenir technicien moto.

Les diplômes requis pour être mécanicien moto

De nos jours, on ne peut plus travailler dans la mécanique moto en ayant fait ses armes auprès de son oncle technicien ou dans l’atelier paternel. Bien que ce genre d’expériences soient intéressantes et constituent un excellent bagage, les concessionnaires et autres garages professionnels exigent des qualifications plus précises, des formations suivies et des diplômes agréés. Aussi, il faudra au moins être titulaire d’un CAP ou d’un diplôme équivalent, en tout cas, un CAP maintenance des véhicules option C motocycles. Ou encore un bac pro maintenance des véhicules option C motocycles ou un BTM Technicien en mécanique de précision. Un bac+1 FCIL Mécanicien moto de compétition peut être aussi accepté, ou un FCIL Préparation des motocycles de compétition en bac+2. Un BTS Maintenance des véhicules option C motocycles peut être également valable.

Il est possible d’assurer l’entretien soi-même

Certains ont le tort de penser que la vidange, changer le filtre à huile etc.constituent l’essentiel de l’entretien moto. Il n’en est rien. Il ne faut surtout pas négliger le filtre à air, les bougies, les réglages moteur et la vérification des consommables de la partie cycle. Mais évidemment, pour savoir comment faire ces contrôles, quand et de quelle manière les effectuer, il faut en connaître un peu plus. Ainsi, on sait aussi à quel moment ses propres compétences ne suffisent plus et qu’il faut donc faire appel à un professionnel.

Quelques conseils et le matériel nécessaire

Il est de la plus haute importance de ne jamais oublier les entretiens peu fréquents. Tel est le cas de de la vidange de fourche qui, si elle n’est pas faite, risque de créer un problème de tenue de route et de talonnage au freinage. Le liquide de frein est aussi très important, sinon, corrosion et grippage viendront, ce qui coûtera cher en réparations plus tard. Il ne faut pas non plus omettre le liquide de refroidissement pour éviter la diminution des pouvoirs anticorrosion et lubrifiant et de la protection antigel. Pour l’entretien, il faut se procurer des bougies neuves, de l’huile moteur et du filtre huile. Peut-être aussi un jeu de plaquettes de frein et un filtre à air et éventuellement, une rampe de depressiomètre Hein Gericke.

Prendre soin de la chaine

Un bon entretien moto doit comporter une bonne lubrification de la chaine de transmission secondaire. Cela est utile car ainsi lubrifiée, elle se conserve plus longtemps. Ce rappel est nécessaire car en général, on oublie de s’en occuper correctement. On ne pense à retendre la chaine que lorsqu’on n’arrive plus à supporter les à-coups de transmission. Ou bien, on la tend trop fort, ce qui l’use très vite. Il faut laisser 3 cm de débattement libre à cette chaîne. Ce qu’il faut retenir, c’est le fait que l’usure n’est pas égale sur la chaîne, et pour la tendre convenablement, on cherche le point le plus tendu en guise de référence. C’est une partie de l’entretien à ne négliger sous aucun prétexte.

Et la vidange ?

C’est assez aisé de vérifier le niveau d’huile moteur. Il suffit d’y jeter un oeil de manière régulière, pour s’assurer qu’il n’y a pas de surconsommation ponctuelle. Si on n’y q pas fait attention et qu’on n’a donc rien fait pour y remédier, le moteur de la moto ne fera pas long feu, c’est certain. En fait, la consommation d’huile dépend du kilométrage, du refroidissement du moteur, de la température ambiante et de la façon dont on utilise son deux-roues. Pour la vidange et le remplacement du filtre à huile, ce sont des tâches incontournables pour maintenir le moteur en bon état.